Nick rules.(again & again).
Cette année j’ai beaucoup hésité à perpétuer la tradition de choisir mes disques de l’année, non pas que je n’ai pas écouté de musique, mais je me suis plus ou moins déconnecté de l’actualité musicale. La recherche de la nouveauté à tout prix, les nouveaux sons qui ressemblent aux sons d’il y a vingt ans ne m’intéresse plus comme avant. Les XXX albums de l’année oui pourquoi pas, de toutes façons, l’année prochaine tout le monde les aura oublié, qui se souvient encore de l’album de l’année dernière ? Du coup ça fonctionne bien les XXX. Mais bon, les traditions sont les traditions (again). Voici donc les disques dont je me souviens, ceux que j’ai écouté, ceux que je ré-écouterais, ceux que j’ai acheté pour de vrai sur un support (ho ! mon dieu ça existe encore ?), pour la hype j’y renonce…
Évidemment j’en ai oublié, et je m’en mords déjà les doigts.
Attention ! Les chiffres sont seulement à titre indicatif pas d’ordre de préférence là dedans :
1. Jean Louis Murat — Le Cours Ordinaires Des Choses
2. La Ballade Of Lady & Bird : A Project By Keren Ann Zeidel & Bardi Johannsson
3. Ed Harcourt — Roulette Russe
4. Benjamin Biolay — La Superbe
5. Saint Etienne — Fox Base Beta (et toutes les rééditions surtout)
6. Erik Arnaud — C’est pas l’enfer
7. Ian Brown — My Way
8. Serge Gainsbourg — Anna (intégrale)
Pour la chanson de l’année, là c’est incontestable, non ce n’est pas la France Culture d’Arnaud Fleurent Didier (aka l’homme au trois prénom), mais bien Où vont les cons ? par Bikini Machine, avec en plus un clip très très bath, comme disent les jeunes.
A l’Ouest !