Doute.
— Tu sais ce que j’aime chez toi ?
— Heu, non…
— Moi non plus…
Dialogue — 12
dans la catégorie Dialogue
Représentation picturale — 32
dans la catégorie Représentation picturale
Holiday Celebrate.
Un programme plus que chargé :
Combiner habillement grasse matinée et sieste
Se poser des questions : Où suis-je ? Qu’est ce que vous voulez ? Dans quel camp êtes-vous ? Qui êtes-vous ? (Vous le saurez en temps utile)
Ne rien faire
Couper des fils
Remettre en place les 317632 cylindres, les 16 têtes & les 63 secteurs par piste
Ventiler
Et surtout dormir
Autoproduit — 08
dans la catégorie Autoproduit
acid brass.
reproduction de :
[the history of world]
© 1997 Jeremy Deller
peinture acrylique sur bois (blanc sur noir) 120 cm x 150 cm
Pour plus d’explications, reportez-vous à un excellent article d’une extraordinaire revue (défunte).
Faux et usage de — 20
dans la catégorie Faux Et Usage De
Dialogue — 11
dans la catégorie Dialogue
Confusion.
— Je ne comprends pas le genre de relation que tu as avec elle…
— C’est pourtant simple, je l’aime, il n’y a pas de doute, vraiment beaucoup, seulement je n’arrive pas à rester dans la même pièce qu’elle plus de cinq minutes, ni l’avoir dans mon champs de vision…
Une Phrase — 21
dans la catégorie Une Phrase
Vite la notice, est-ce bon ?
Something Completely Different — 78
dans la catégorie Something Completely Different
Petit plateau.
Toujours la même histoire
D’étapes en étapes, avancer
Continuer pour boucler
Coller à la roue, épuisé
Confondant les noms des sommets
Les pourcentages de dénivelé
Les catégories des cols
On me gave d’informations
De force du vent, de distance
On me suit on me pousse
Vérifie le moindre battement de cœur
Ce corps n’est plus le mien
Comme légué à la science
Une souris blanche
Un hamster dans une roue
Un mouton dans un troupeau
Un maillot dans un peloton
Les sprints de bonification
Finissent de m’achever
Toujours contre la montre
Avant le tour de trop
Quand tremblant genoux à terre
Il sera impossible de chevaucher
J’en ai plus qu’assez
De cette chaine qui me fait cheminer
Je rêve de chutes collectives
Pour pouvoir enfin rentrer
Lassé des chambres d’hôtels
Que je finirais par vandaliser
Je rêve de domicile
Je rêve d’être enfermé
Plus de vent, plus de pluie
Plus de soleil, plus d’été
Un toit, des murs
Le silence loin des ces braillards
Qui croient m’encourager
Mais qui ne font que me désoler
Document du Quotidien — 27
dans la catégorie Document Du Quotidien
Play It Loud — 37
dans la catégorie Compilation, Play It Loud
Un été de fiction.
Apres un inutile été & une conspiration d’été, le troisième volume des compiles estivales laisse à penser que cette année c’est un été de fiction qui s’annonce…
01. Générique
02. The Unicorns – Sea Ghost
03. Canned Heat – Going Up The Country
04. The Apples In Stereo – Avril En Mai
05. Gruff Rhys – Candylion
06. Notre Dame – Une Faiblesse De La Nature
07. The Polyphonic Spree – Five Years
08. Nine Inch Nails – The Day The World Went Away
09. Colin Hay – Overkill
10 Superflu – Quand Homme Blanc Coupe Du Bois
11. Un Homme & Une Femme Project– La Falaise
12. Valérie Leuillot – Les Falaises
13. Françoiz Breut – Le Ravin
14. The National – Fake Empire
15. Mardi Gras B.B. – Hungry Like The Sun
16. Vladimir Cosma – Les Demoiselles De Province
17. Michel Magne – Superchic Génial
18. Nino Ferrer – Les Hommes A Tout Faire
19. Belle & Sebastian – Your Cover’s Blown
20. The Rolling Stones – Paint It Black
21. Bertrand Betsch – Les Vents Contraires
22. Super Furry Animals – It’s Not The End Of The World
La bande originale de l’été, mixée et compilée est ecoutablle tout de suite et n’importe quand en cliquant sur « un été de fiction » à droite, dans la partie Musique, mais elle est aussi téléchargeable avec son artwork…
Représentation picturale — 31
dans la catégorie Représentation picturale
WiP.
Si un jour enfin, je me réveille et si j’arrête de courir bêtement chercher des balles crevées ou des scarabées morts ou toutes autres mères sans vies…
Sous un marteau je ferais taire des téléphones, je terminerais ce que j’ai commencé, rangerais mes murs, ouvrirais les rideaux, lèverais un peu le nez, écrirais un peu…
Je ne m’énerverais plus rien, je ne mentirais plus, je ne programmerais plus rien, j’attends juste qu’un rayon vienne taper à ma fenêtre, doucement je me lèverais, je n’allumerais pas la radio, je mettrais un disque, peut être sans parole (Coming Home ?) & évidement je ferais du café, une pleine cafetière, il me faudra la matinée pour arrivé à sa fin, j’irais chercher le journal, le lirais un peu, je tendrais les bras, je m’étirerais doucement, je contemplerais l’hiver permanent, et cela ne fera rien, je m’en foutrais de ce que tu diras, même de ton chant, même de mon cœur qui bat, même du reste, même de tout.