A Complete Waste Of Time — 38

Le 07 avril 2009 — par sy!
dans la catégorie A Complete Waste Of Time

Yesterday’s Jam.
Afin d’optimiser au mieux la vie au sein de l’It Crowd de Reynholm Industries, il convient de respecter ces quelques règles, qui sont plus que des recommandations mais une véritable manière de penser, un vrai style de vie, pour optimiser et upgrader le savoir vivre ensemble, le savoir travailler ensemble, dans le respect des valeurs humaines, respect de soi et des autres…
Evidement le côté ‘règlement’ a un aspect coercitif et infantilisant mais afin qu’il soit respecter par tous l’écrit est la meilleure solution car les paroles s’envolent comme les feuilles des platanes dans une cours d’école quand vient l’automne et le temps de la rentrée, mais les écrits restent, imprimés sur une feuille vingt et un, vingt neuf sept, quatre vint grammes, qui finira certes à la poubelle, mais qu’importe car même là les écrits resteront.
Voici donc le quelques règles, même si je préfère le terme de conseil pour que s’établisse une relation de confiance pour construire une collaboration motivante…


Régle N°1
Have you tried turning it off and on again ?
Régle N°2
Is it definitely plugged in ?
(…)
Régle N°10
Tout ce qui ne marche pas est de la faute des prédécesseurs.
Régle N°11
Si vous soulevez un problème, il devient votre problème.
Régle N°12
Les problèmes des autres sont vos problèmes.
Régle N°14
Il y a toujours plus urgent que vos problèmes urgents.
Régle N°15
Si vous avez un problème, c’est que c’est vous le problème.
Régle N°16
Dans l’absolu, il n’y a pas de problème.
Et son corolaire : Dans l’openspace, personne ne vous entendra crier.
Régle N°17
Tant que cela marche, on ne touche à rien.
it’s not broken don’t fix it

Pas de régle 13, ça porte malheur.

Evidemment c’est un work-in-progress qui est amené à se développer avec slide, camemberts et statistiques… suite aux différentes réunions que nous ne manqueront pas d’organiser d’ici la fin de l’année, pour ce faire je vous propose la création d’un groupe de travail qui aura pour mission de chapeauter le comité de pilotage dans le cadre de ce projet, de plus une cellule de réflexion sera chargée de nous proposer un planning opérationnel et définitif avec des dates provisoires. Merci de revenir vers eux au plus vite afin de communiquer vos dates de disponibilité dans les mois à venir, ce projet étant prioritaire la deadline est le 15 novembre 2017 vers dix sept heures, évidemment nous pourront repousser tout ça le cas échéant…

Une Phrase — 36

Le 05 avril 2009 — par sy!
dans la catégorie Une Phrase

Imagine le jour où il y aura le procès de Nuremberg du capitalisme.

Esotérique – Egotérique — 60

Le 01 avril 2009 — par sy!
dans la catégorie Esotérique - Egotérique

Beta 0.3
&
puis
d’un coup
voilà
que je
ne
sais
plus
rien
comme
constamment
renvoyé
à
la
ligne

Une Phrase — 35

Le 30 mars 2009 — par sy!
dans la catégorie Une Phrase

Quand on coupe la tête d’un poulet, le corps court encore.

Dialogue — 23

Le 29 mars 2009 — par sy!
dans la catégorie Dialogue

Phobie.
— (…)
— Non c’est pas vrai, je n’ai pas peur des filles, pas du tout, ce n’est pas parce que je vis enfermé dans mon studio, où je dors dans la cuisine (où ce n’est définitivement pas la place d’une fille & encore moins d’une femme) que je ferme portes et fenêtres, et que je refuse qu’une fille m’approche à moins de cinquante mètres, que j’ai peur…
— Tu ne peux pas continuer comme ça…
— Rassures toi, je vois des gens, mon facteur est un homme et le livreur de pizza aussi… Tu vois ça va…

Représentation picturale — 72

Le 29 mars 2009 — par sy!
dans la catégorie Représentation picturale

Le temps des cerises.

Vive la commune
« Chacun cherche sa route; nous cherchons la nôtre et nous pensons que le jour où le règne de la liberté et de l’égalité sera arrivé, le genre humain sera heureux. »
Louise Michel

Placard Commune de Paris

Mon Avis m’Intérésse — 57

Le 27 mars 2009 — par sy!
dans la catégorie Mon avis m'intéresse

Rock and roll will never die….
Il y a des chansons qui nous ont toujours accompagné, pas toujours en fait, mais on ne sait plus vraiment quand elles sont rentrées dans nos vies ou contraire dès la première écoute ce fut une claque et l’on pourrait citer qui, où, dans quelles circonstances elle a eu lieu, en tout cas une chose est sure depuis elles ne sont jamais ressorties de notre univers. On les a beaucoup écoutées déjà puis un peu moins puis plus du tout ou très occasionnellement, mais pourtant certains jours elles sont comme évidences, elles viennent titiller notre mémoire, devenant obsession monomaniaque, on a envie de n’écouter plus que celle là, comme si toutes les autres chansons n’existaient pas, n’avaient jamais existé, n’avaient été qu’un détail. En marchant dans les couloirs, ou enserré dans sa veste on se surprend encore à l’entonner. A peine terminer on pense déjà aux premières mesures qui nous redonnerons des frissons dans quelque secondes… On connait chaque mot, chaque accord, chaque respiration, on sait quand se fera l’arrivée de la batterie au centième de seconde près, on est capable d’entendre au fond les deux petits accord de violons que personne n’entend, parfois le texte n’est pas toujours d’une grande qualité littéraire pourtant il tape juste, les bons mots sur les bons accords, certains les trouverais emplis de guimauve ou au contraire d’une noirceur extrême, mais qu’importe, c’est notre chanson, notre b.o, notre o.s.t, chacun pourrait en citer deux, trois, dix, trente, pourtant elles sont incontrôlables ce n’est pas la chanson d’un évènement, ce n’est pas « quand je suis… j’écoute…« , elles surgissent de nulle part, nous entourent, nous enivrent…
Ne plus rien faire d’autre, juste écouter.
Monter un peu le son à chaque écoute, jusqu’à ce que ce ‘play it lound’ ai tout son sens.
Fermer les yeux et savourer, se perdre dans les notes, se perdre dans les mots, avoir la musique autour de soi, être dans la musique autour de soi, se retirer du monde…


Je ne dirais pas quelle chanson m’accompagne aujourd’hui parce que c’est vraiment trop facile.

Courrier — 39

Le 25 mars 2009 — par sy!
dans la catégorie Courrier

If you get murdered,
i’ll avenge your death.

Ce soir dans ma boite en fer aux lettres j’y ai trouvé :

Ce matin dans ma boite en un et zéro aux lettres j’y ai trouvé :

Sachant que tu n’es pas prêt à te dé-geekisé (sauf à mardi gras ?), tu recevras j’espère très prochainement ton cadô par la poste : comme c’est un DVD que tu as déjà, tu en tireras un bon prix j’espère sur e-bay et ce petit pécule pourra immédiatement être transformer en avoir pour recevoir la seconde saison dès la sortie amazonienne. Tu vois, j’ai pensé à tout.
DG

Du coup je suis de bonne humeur, bon je suis prévisible, ce n’est pas trés grave. Je ne sais pas si c’est cette bonne humeur subite, mais ce soir, ohh ce soir, just want to do smothing special for all the ladies in the world. (oh yes !)
Mais avant ça j’ai mis à jour mon graphique d’amitié :

Murray’s friends chart

Représentation picturale — 71

Le 25 mars 2009 — par sy!
dans la catégorie Représentation picturale

A four and a three.
Murray birthday
Murray birthday

de pres je ne fais pas mon âge…

A Complete Waste Of Time — 37

Le 24 mars 2009 — par sy!
dans la catégorie A Complete Waste Of Time

Claquer des dents.
Alors que je mettais à jour mon profil Facebook travaillais, tout en écoutant le nouveau Rodolphe Burger répondant au téléphone, je cherchais en même temps du regard le Libé d’hier une procédure d’exportation de fichiers quelconques importants, oui je suis dispersé, multifonction, multitâche.
Bref je me disais pensais, qu’il faut réfléchir avant de parler, d’écrire parce que…
(…)
NDLR : Et c’est à ce moment là que l’auteur de ces lignes lève les yeux vers le plafond et part dans son monde intérieur peuplé de licornes et de dromadaires. Puis se lève brusquement en déclarant ‘non mais c’est vrai qu’a priori une échelle ça va plus vite qu’un ascenseur…, puis s’en va sautillant des les couloirs en chantant :

S’il fallait se dire
Ce que l’on est vraiment
Ca nous ferait peut-être rire
Mais ça nous tuerait sûrement
Car nos pensées sont tellement pires
Qu’il faut leur mettre un mors aux dents
Car si l’on veut un jour tenir
Mieux vaut se mentir assez souvent
Moi je sais bien que je te ferais fuir
Si tu voyais ce que je pense vraiment
C’est vraiment à coup à frémir
Un coup à claquer des dents
Mieux vaut laisser moisir
Laisser pourrir au dernier rang
Ces mots qui nous feraient pâlir
Nous feraient honte assurément