Depuis longtemps déjà ma vie s’arrête à 12h05, même si depuis l’invention du podcast les choses ont un peu changées. Puis le jeudi matin, j’ai pris l’habitude d’être plus attentif un peu avant huit heures…
Oui je l’avoue je suis fan de Didier Porte (ces chroniques télévisuelles sur Ouï Fm étaient déjà du grand art). J’aime bien le bonhomme toujours prêt à faire la promo des copains, j’aime bien ces idées et la manière de les défendre, dans l’excès dans l’auto-caricature du gauchiste gauchisant…
Je me souviens de papiers dont j’ai reparler avec des amis tellement j’en avais ri, tellement qu’ils étaient bien tournés, tellement qu’ils envoyaient du bois ! J’aimais comment en frontal il affrontait Juppé, démontait Bernadette Chirac et sa charité malodorante (comme il l’a fait avec les Enfoirés), sans parler d’Arthur ou Moati bref ce soir je suis un peu triste de voir qu’on le vire de la radio, de ma radio, je suis Franceinteriste…
Alors histoire de rire encore un peu, voici la première chronique (quasi-prémonitoire) matinale, ce n’était pas encore ‘l’humeur de Didier Porte‘ mais ‘les évadés du fou du roi‘.
Didier Porte
Première chronique matinale (24 Janvier 2008)
France Inter
A l’époque les journalistes avait le droit de rire aux chroniques, à l’époque le vendredi Philippe Val essayait de faire rire, il n’y arrivait jamais, aujourd’hui il ferait presque pleurer.