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See you later

Le 05 Juin 2015 — par sy!
dans Mon Quotidien Vain, Play It Loud

Tout à l’heure sur twitter, parmis les vingt cinq tweets quotidiens :

Et ça m’a fait repenser à une chanson, qui m’a fait repenser à un texte, petite rediff, de toutes façons je ne ferais pas mieux :

A+.
On a passé une bonne partie de l’après midi ensemble, on a bu des cafés, fait un peu les magasins, enfin surtout toi, moi je te suivais, portant tes paquets et j’aimais ça. On a parlé de plein de choses du plus insignifiant au moins léger. La nuit est tombée, il s’est mis à faire un peu froid, tu m’as dit que tu allais rentrer, je t’ai répondu que moi aussi, et qu’en plus j’avais plein de trucs à faire chez moi, j’ai menti, tu m’as fait la bise, tu m’as dit au revoir, je t’ai répondu, ‘à plus tard’. Nous sommes partis dans deux directions opposées, je me suis retourné, j’ai failli t’appeler, hurler ton prénom, tu as tournée au coin d’une rue et je me suis répété ‘à plus tard.’, j’ai ré-ajuster mon écharpe, j’ai fait demi tour, baisser la tète et avancer en regardant mes chaussures, ‘à plus tard’… Je suis le roi de la réparti, j’aurais tant eu à te dire. ‘je te suivrais à l’autre bout du monde’, ‘allons faire l’amour là maintenant’, ‘donne moi ta main’, mais je n’ai été capable que de dire ‘à plus tard’. En passant à hauteur d’une voiture, de rage, j’ai mis un coup de pied dans ces pneus, son alarme c’est déclenché, ‘à plus tard’, ces trois mots entêtants comme le cri strident de l’alarme qui me perce les oreilles, trois mots qui reviennent sans cesse, preuve de ma lâcheté. Les mots manquent parfois, ‘à plus tard’. La peur au ventre, le cœur battant pour rien ‘à plus tard’, l’émotion n’a pas de mot, ‘à plus tard’, il est déjà si tard.
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Making Off : Texte totalement inspiré de la merveilleuse chanson d’unpoc (aka Tom Bauchaup), See You Later.
Turning away I called out, I called / See you later…

Mercredi, Une Journée de Travail Ordinaire.

Le 28 Jan 2015 — par sy!
dans Mon Quotidien Vain

Mercredi, 9h20. Au bureau, j’ai faim, envie du graisse saturé au ventre, à base de burger, j’entame mon cinquieme café, ma vie, cette lutte.
Mercredi, 9h20. Au bureau, soudain le téléphone sonne, il se passe quelque chose, ha non faux numéro. J’entame mon huitième café
Mercredi, 9h38. Au bureau, je débute la construction d’une tour Eiffel en trombone, pas à l’échelle un, en plus petit j’entame mon dixième café
Mercredi, 09h47. Au bureau j’envisage une attaque djihadiste aux RH au cri de « Code du travail Akbar », je me ravise et reprends un café
Mercredi, 10h07. Au bureau, pour donner sens à ma vie, je décide de devenir allergique au gluten.
Mercredi, 10h08. Au bureau, je réalise qu’il faut que je renonce aux Burgers, je décide donc de ne plus être allergique au gluten
Mercredi, 10h44. Au bureau, j’essaie de convaincre mes collègues qu’on peut aller manger un sandwich à 11h avant de déjeuner : Échec.
Mercredi, 11h32. Au bureau, je caresse le secret espoir qu’il y ai des frites à la cantine, avant de me souvenir que je dois faire attention
Mercredi, 11h34. Au bureau, la perspective de déjeuner d’une salade sans sauce à la cantine me plonge dans des abîmes sans fond de tristesse
Mercredi, 11h40. Au bureau, je me rend sur le site @puremedias aucune nouvelle info sur @Cyrilhanouna je m’inquiètes, j’espère qu’il va bien
Mercredi, 11h50. Au bureau je compte les minutes qui me séparent de la cantine, je suis interrompu dans cette tache par le bruit de mon ventre
Mercredi, 12h00. Au bureau, midi enfin, sur ma bouche se dessine un léger sourire, l’appel de la cantine sans doute
Mercredi, 12h07. Au bureau, je regarde l’openspace se vider, j’apprends que certains collègues « mangent à l’extérieur », malgré le froid
Mercredi, 12h15. Au RIE, j’hésite entre la Papillote de harengs façon kippers et la fricassée de veau Aveyron à la sarriette, hésiter me tue
Mercredi, 12h20. Au RIE, après de longues minutes je me décide enfin pour un steak haché/frites au grill, je me maudis d’être aussi faible
Mercredi, 12h31. Au RIE, je dépose mon plateau, le plongeur me gratifie d’un bonne journée que je ne pense pas sincère
Mercredi, 12h42. Devant le bureau, je fume une cigarette, j’ai froid, je vais vite retourner travailler
Mercredi, 12h52. Au bureau, devant mon ordinateur. J’attends 17h.
Mercredi, 13h00. Au bureau, sur ma boite mail on me propose de rencontrer des femmes russes, je trouve l’idée plaisante
Mercredi, 13h01. Au bureau, je réalise que je ne parle pas russe, je réponds au mail « avez vous des françaises ? »
Mercredi, 13h15. Au bureau, ma réserve de café est anormalement bas je m’inquiètes puis découvre un stock café dans le tiroir du bas je respire
Mercredi, 13h31. Au bureau, aventure palpitante je découvre que j’ai oublié de sauvegarder le document sur lequel je travaillais, je recommence
Mercredi, 13h32. Au bureau, en fait je l’avais bien enregistré, je l’avais juste mis dans le mauvais répertoire, mon travail n’a pas été vain
Mercredi, 13h40. Au bureau, j’imprime un document, la photocopieuse a un bourrage papier, j’invoque la loi des séries ‘quand ça veut pas…’
Mercredi, 14h01. Au bureau, je mate le site du RER C pour vérifier l’état du trafic il est normal plein d’optimiste je lance pourvu que ça dure
Mercredi, 14h15. Au bureau, Rien.
Mercredi, 14h27. Au bureau, une collègue est passée m’emprunter mes ciseaux, je l’ai informé qu’ils s’appelaient ‘revient’ elle a souri
Mercredi, 14h28. Au bureau, je repense au sourire de ma collègue, j’aime ces moments de séduction, mais elle a intérêt à me rendre mes ciseaux
Mercredi, 14h37 Au bureau, je me demande ce que je vais me faire à diner, je n’ai rien dans mon frigo mais commander un burger serait mal
Mercredi, 14h52. Au bureau, je regarde par la fenêtre, je ne pense pas qu’il va pleuvoir, mais on ne sait jamais
Mercredi, 14h57. Au bureau, je dis à voix haute « holala trois heures déjà ! je n’ai pas vu le temps passé » je me lève et vais me faire un déca
Mercredi, 15h04. Au bureau, finalement il pleut, je n’ai pas de parapluie, c’est pas ma journée
Mercredi, 15h08. Au bureau, ma collègue vient de passer dans le couloir elle m’a dit ‘oui oui tes ciseaux, je ne t’oublie pas’ mon coeur bat
Mercredi, 15h17. Au bureau, l’effet diurétique du café se fait sentir, je prends le journal et vais aux toilettes
Mercredi, 15h28. Au bureau, ma collègue a déposé sur mon bureau mes ciseaux pendant que j’étais aux toilettes, je me sens triste de l’avoir raté
Mercredi, 15h38. Au bureau, je sens poindre l’ennuie, pour m’occuper je trie mes mails et les mets tous dans le dossier ‘Courrier indésirable’
Mercredi, 15h40. Au bureau, Outlook plante.
Mercredi, 15h41. Au bureau, je retiens ma respiration tant qu’Outlook ne répond pas. Je suis tout rouge, je respire de nouveau, Outlook a gagné
Mercredi, 15h55. Au bureau, rapide coup d’oeil sur le site du RER C pour vérifier l’état du trafic, toujours normal, je croise les doigts
Mercredi, 16h00. Au bureau, j’ai faim, je ferai bien un gouter ou un apero en after work, mais malheureusement je suis sobre et au régime
Mercredi, 16h11. Au bureau, je réalise tout le travail que j’ai en retard, malheureusement il est trop tard pour m’y mettre, on verra demain
Mercredi, 16h25. Au bureau, je rassemble mes affaires en vu de préparer mon départ
Mercredi, 16h38. Au bureau, l’idée de devoir affronter les transports en commun après cette journée harassante me terrifie et m’épuise
Mercredi, 16h40. Au bureau, je ferme toute les fenêtres de mon ordinateurs, en disant dans ma tête ‘au revoir Word’, ‘au revoir Excel’
Mercredi, 16h45. Au bureau, je regarde la trotteuse de ma montre en l’encouragement pour qu’elle avance plus vite, ça ne fonctionne pas du tout
Mercredi, 16h52. Au bureau, le ‘bon bah je vais y aller’ que je lance laisse l’openspace de marbre, je pense que c’est dû à ma voix qui porte peu
Mercredi, 16h59. Au bureau, ultime effort de la journée, et le plus plaisant finalement : cliquer sur « démarrer arrêter »
Mercredi, 17h10. Sur le quai du RER C se jeter sous le métro est il me semble la meilleure façon de conclure cette bonne journée.
Mercredi, 17h11. Sous le RER, je suis bien, enfin.

FAB51 [a BBQmentary]

Le 19 Juil 2012 — par sy!
dans Mon Quotidien Vain

Que faire avec des amis ?
des Barbecues, des films, les deux ?
Oui.
Sans doute…
mais surtout, surtout, avec des amis…
il faut construire l’hacienda ! Read More

Caresse et larme à l’oeil.

Le 27 Août 2011 — par sy!
dans Mon Quotidien Vain, Play It Loud

Je pourrais raconter comment en seconde à l’internat dans une petite ville de province, en haut d’un lit superposé un ami m’a fait découvrir Lenoir.
Je pourrais  raconter comment ensuite mon walkman m’accompagnait dés 21 heures.
Je pourrais faire la liste des groupes, chansons que j’ai découvert grâce à Lui.
Je pourrais raconter comment je demandais aux gens ‘Tu connais Lenoir’ et suivant la réponse ils devenaient des amis ou restaient des connaissances.
Je pourrais raconter les cafés du samedi après midi, où quasi invariablement la phrase ‘t’as entendu ________ chez Lenoir ?’ était prononcée.
Je pourrais raconter les week-end du 15 Aout où je prennais des nouvelles de Saint Malo et de tout ce que je ratais.
Je pourrais raconter l’attente fébrile de la diffusion d’un titre du nouveau Murat.
Je pourrais raconter comment je n’ai pas pu aller voir Elysian Fields à la maison de la radio.
Je pourrais raconter comment déjà en 2006 je m’inquietais.
Je pourrais raconter comment je m’inscrivais aux Black Session pour que mes amis parisiens puissent y aller.
Je pourrais raconter les cassettes où j’enregistrais les concerts pour les mettre en Mp3 ensuite.
Je pourrais raconter la route en écoutant l’émission, comment je prenais un détour pour écouter encore cinq minutes.
Je pourrais raconter encore mille choses.
Mais je n’arriverais jamais à raconter l’étrange pincement au coeur depuis deux jours, la tristesse se mêlant à la gratitude, je cherche mes mots mais rien ne vient.

Le soir, le deuil se porte en Lenoir.

Bonus

Petit souvenir :


Elysian FieldsQueen Of The Meadow
C’est Lenoir – White Session (enregistrée le 26/03/2001, diffusée le 12/04/2001)

 

Richard Trevithick.

Le 13 Août 2011 — par sy!
dans Mon Quotidien Vain

J’ai étiqueté mes bagages pour ne pas qu’ils paraissent abandonnés, à côté d’eux c’est moi qui ai l’air suspect : pas rasé, cheveux ayant besoin d’être coupés. Ils sont trop longs pour que j’ai une coiffure cohérente, quoi que je fasse j’ai l’air décoiffé. Me sentant à l’étroit dans cette chemise qui me colle à la peau. Mon sac me scie l’épaule. Pas réveillé, tout me pèse. J’erre sur le quai un café à la main, fumant ma première cigarette de la journée. Cherchant mon wagon puis cherchant ma place.
Ne sachant pas avec qui je vais partager ces deux heures de vie perdue, être si proche d’une personne et pourtant ne pas lui adresser le moindre mot, ne pas la regarder dans les yeux une seule fois, pourtant parfois les pieds ou les bras se frôlent, mais être invisible l’un pour l’autre.
Se laisser aller. Demi-sommeil. Rêve éveillé.
Les yeux se perdront sur la ligne d’horizon.
Le livre restera fermé sur la tablette.
La tête cognera la vitre.
Se perdre dans ses pensées, rien de cohérent, des questions, des coqs, des ânes, des escaliers.
Tout ce qui ronge, tout ce qui torture
Ressasser, essayer encore de dormir pour faire taire la roue libre.
Une fois arrivé, regrouper ses affaires, descendre puis tout oublier.

Bonus

En cherchant dans mes archives j’ai retrouvé ça sur le même thème.

Je suis un train

Je dessers toute les gares du parcours
Tous les hameaux le moindre bourg
Trop souvent à l’arrêt
Stationné sur le quai
Pas de signe de départ
Pas de chef de gare
Pas de wagon fumeur
Pollution arrêt moteur
Caténaire dégelé
Catastrophe évité
Comment changer de voie
Quand on ne peut qu’aller tout droit
Traverser des forets
Et des zones rurales
L’exode et les friches
Voilà tout ce que je vois
Même les vaches se détournent
Elles ne regardent même pas
Cette locomo rouge
Qui fut d’or autrefois
Contrôleur insatiable
A l’affût du moindre pied
D’un zèle remarquable
Comment se reposer
Mon titre de transport
N’est pas noble pour deux sous
Demande le moi encore
Et je te brise les genoux

Bonus Bis

évidemment, dans le train rien de mieux que d’écouter de la bonne musique…

 

Widescreen.

Le 27 Mai 2011 — par sy!
dans Mon Quotidien Vain

J’ai acheté un nouvel écran, il est grand, il est beau il est fort bref il est comme moi, en moins bien, il n’y a qu’un pied alors que j’en ai deux… Vous remarquerez que je pousse le vice jusqu’à m’infliger des rayures sur le fond d’écran…
Un des petits avantages de Windows Seven c’est la possibilité de faire un diaporama de fond d’écran, j’ai donc fait chauffer Photoshop pour faire plein de fond d’écran qui paradoxalement sont tous les mêmes, regardez comme c’est beau…

Ouais…
Je sais…
Tout cela n’a aucun intérêt…
Bon…
Mais comme je viens (encore) de perdre un Hdd (je le branche et : rien, je n’entends plus les plateaux tournés, plus rien). J’ai besoin de légèreté ou alors je tue le chien. Ce qui serait un peu compliqué parce que d’abord je n’ai pas de chien, il faut donc que j’aille à la S.P.A., que je choisisse un chien, que je l’adopte, que je le ramène à la maison et que je le tue, mais je ne saurais pas quoi faire du cadavre, je ne vais pas le planquer sous le lit tout de même ou le jetter par la fenêtre…
Bref…
J’ai un bel écran et de jolies rayures dedans…

Sur la droite de mon clavier kibrille, vous noterez la présence de deux lumières rouges… Ce sont les yeux du mini-Robot (qui fait hub-usb en plus, il a tout les talents) qui constamment me surveille et me juge… Du coup je n’ose plus aller sur les sites un peu olé-olé pour me détendre… Et merde… Bon je vous laisse je vais à la S.P.A…

A la pèche.

Le 19 Mai 2011 — par sy!
dans Mon Quotidien Vain

Le fishing n’est pas que la pratique des grands escrocs  internationaux qui se servent de l’argent collecté, enfin volé pour financer le terrorisme extrémiste dans le but d’une destruction totale de vos vies espèce de chiens infidèles ! Non, le fishing  peut se pratiquer en amateur, comme un hobby, un  violon d’Ingres, il suffit d’un ordinateur, des internets, et d’une adresse mail. J’en veux pour preuve le mail que je viens de recevoir (et dont je n’ai pas modifié une lettre) :

Cher(e) Membre,

En raison de la congestion de tous les utilisateurs de MSN, HOTMAIL, LIVE, YAHOO, GMAIL, FREE, WANADOO, LIBERO, TISCALI, ORANGE MAIL ETC…auront une modification sur les nouveau mode d’utilisation, vous devrez confirmer votre e-mail en remplissant vos informations de connexion ci-dessous au cas où le formulaire n’est pas totalement rempli votre compte sera suspendue dans les 72 heures qui suivre pour des raisons de sécurité.

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LE SERVICE MICROSOFT

Simple et efficace.
Le soucis c’est je l’ai reçu sur mon adresse web@sylvainbarraux.net, donc je ne suis pas concerné.
Du travail d’amateur quoi…

Reconversion.

Le 02 Mai 2011 — par sy!
dans Mon Quotidien Vain

Malins comme vous êtes… Ne niez pas, vous surfez sur les internets donc vous êtes assez malins pour configurer votre Routeur Modem Box Wifi 3G, ou alors assez futés pour avoir des bons amis pour le faire & se servir des ressources disponibles dans son tissus relationnel c’est être malin, nous y reviendrons d’ailleurs prochainement dans un article dédié au développement personnel de soi avec une méthode infaillible à base de Pdf qui non seulement vous rendra heureux et développera des aspects de votre personnalité mieux que le Viagra ne développe des parties de votre anatomie.
Mais nous y reviendrons…
Malins comme vous êtes vous vous êtes sans doute rendu compte que j’essaie de m’astreindre à refaire vivre mon blog. Ce n’est pas chose simple. Avant tout un constat l’ancien positionnement marketing Journal Extime égocentrique à caractère inintéressant & ininformatif n’a pas eu le succès escompté car sans doute trop segmentant et pas assez impliquant, et j’ai lu partout que si tu fais un blog c’est pour avoir des lecteurs (en option), pour avoir du clic (surtout), pour avoir de la pub (très important), pour être riche, pour être influent (le Graal) & pour te taper des putes & de la coke — mots volontairement vulgaire afin de générer les fameux clics nécessaires à l’obtention de ma future richesse et de mon futur statut d’influent, j’ai écrit putes mais j’aurais pu tout aussi bien pu écrire ‘Marie Drucker nue’ ou ‘Winnie l’ourson à poil’ mais cela eut été un poil trop racoleur, c’est le cas de le dire mais nous y reviendrons… — Bref, j’ai décidé de modifier le concept de ce blog afin de générer du clic — Fais pas ta pute clic et lâches tes coms ! —, je vais donc transformer ce blog en blog mode, il parait que ça marche et qu’en plus après t’as des cadeaux. Théoriquement pour arriver à mon objectif (clic-pubs-influent) en tant que blogueur mode je devrais être une blogueuse mode, mais bon, ce détail n’est pas trés important dans la mesure où sur les internets personne que tu n’es un chien, ou une chienne en l’occurrence.
Alors… Let’s Go Marco !

Old Fashion is always Fashion*

J’ai craqué ! lol ! Vous savez combien j’aime les chaussures, je ne compte plus les paires que je possède, à vu de nez je dirais deux, avec certaines c’est de vraies histoires d’amour que j’ai vécu.
Notamment une, elles étaient vielles mais elles étaient belles, elles m’accompagnaient partout et avec tout une petite chemise, noire cintrée toute simple ou en t-shirt elles étaient toujours parfaites ! Mais le temps à fait son oeuvre & elles ne sont plus que l’ombre de ce qu’elles furent jadis et c’est à contre coeur en pleurant toutes les larmes de mon corps que je dû me résoudre à ne plus les porter…
Mais voilà j’ai craqué ! lol !
J’ai fais une folie ! De passage aux Halles entre un showroom de The Kooples et une vente privé chez Coton Doux quand je suis passé devant le magasin Doc Martens, je n’ai pas pu résisté !  J’avais besoin d’une paire de chaussures pour l’été, vous savez comment mes petits pieds sont fragiles lol !
Je suis rentré et elles étaient là ! Nous nous sommes reconnu immédiatement, il faut dire aussi que nous nous sommes tant aimés lol ! Voilà j’ai racheté des 1919 de chez Doc Martens, avec coutures jaunes s’il vous plait, comme les vraies, je blague ce sont des vraies, la preuve : l’original coussin air-cushioned, offre un confort à mes pieds et une durabilité inouï qui fait hypra-plaisir à mon porte monnaie. Grace à l’huile et la graisse elles sont supra résistantes, solides et offrent une bonne résistance au glissement et les lacets font plus de deux mètres, c’est qu’il en faut pour rentrer dans ces dix petits trous, lol !

Voilà j’ai acheté les mêmes chaussures que je portais il y a deux ans, évidemment elles m’ont fait un peu mal au pieds au début, le temps que nous nous fassions l’un à l’autre mais aujourd’hui c’est le grand amour, je ne les abandonnerai pour rien au monde. La mode est au Vintage, je suis le vintage de moi même ! Et de toutes façons tout change donc tout est pareil !

(Mince je me demande si cette conclusion ne fait pas trop ancien positionnement du blog qui ne marchait** pas et qu’il faut changer rapport à la coke des influenceurs, lol***)

*You think you know fashion, well fashion’s a stranger
** Marcher / Chaussures… humour !
***lol!